Chevalier de la Lumière Divine
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Dragoon
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Dragoon


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MessageSujet: Poster vos plus belles histoires ici   Poster vos plus belles histoires ici Icon_minitimeMer 30 Jan 2008 - 22:34

Voila. Si vous voulez montrer vos talents d'écrivains, c'est ici que cela se passe.

Vous avez juste besoin de mettre votre cerveau en marche scratch et de voir le résultat que cela va donner. Shocked Aprés vous faites en sorte que cela fasse beau et jolie (Ok je me répète Razz ).

Faites nous découvrir vos talents. Peut être qu'un réalisateur passera voir ici pour prendre votre histoire et l'adapter en film qui sait. Laughing

A vos crayons !!! study
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Debby
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Debby


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MessageSujet: La Naissance du Dragon   Poster vos plus belles histoires ici Icon_minitimeJeu 31 Jan 2008 - 0:09

Ok, alors, le texte n'est pas fini, mais je vous laisse déjà découvrir les trois premiers des 9 chapitres déjà finalisés... bonne lecture!! study


La Naissance du Dragon


Chapitre 1

La Chine d’autrefois



Autrefois, il y a bien longtemps de cela, du temps où les dragons n’existaient pas, les hommes, les femmes et les enfants de Chine chassaient, pêchaient et vivaient en tribus sous la protection d’esprits bienveillants.
On pourrait penser que les différents peuples vivaient tous en paix, dans la plus grande harmonie ; les hommes allaient et venaient, toujours en quête de nouveaux objets à inventer, de nouvelles importantes à publier, laissant aux femmes le soin de s’occuper de l’éducation des enfants, de la récolte du riz… Toutes les tâches étaient réparties équitablement, même les enfants avaient leurs corvées journalières, et ce, dans toutes les tribus, même dans celle de la Montagne Noire.
La pauvreté n’existait nulle part, car chacun et chacune avaient pour obligation de recueillir les moins aisés dans leur propre famille, et chacune d’entre elles avait une grande et belle maison. Mais plus beaux encore étaient les jardins, qui n’étaient pas rares en Chine.
A chaque coin de rue, vous pouviez en apercevoir un, tous plus beaux et plus grands les uns que les autres. Ils abondaient d’arbres fruitiers, toujours pleins à craquer de fruits, à n’importe quelle saison. Partout, parmi la verdure, on pouvait apercevoir de petites fleurs de chacun des pays du monde, la plupart étant rarissimes.
Le plus fantastique de tout restait, malgré tout, l’eau. Tous les jardins en abondaient. Il y avait partout de petites fontaines, dont l’eau était si fraîche et si douce, que même sans soif vous y buviez. Et les rivières. Ah, les rivières, comment vous décrire cette beauté, cette grâce, cette somptuosité ? Et surtout, par où commencer ?
L’eau y était si claire, que vous ne la voyiez presque pas. Il fallait savoir qu’il y en avait, si vous ne vouliez pas le découvrir par vous-même, en vous y enfonçant jusqu’au cou. C’était pour éviter trop de cas semblables qu’un message avait été inscrit au bord de la rivière. Quant à sa saveur, je ne sais comment vous en faire part. A aucun moment de votre vie, vous n’avez pu boire pareille chose, mais si vous avez jamais été assoiffé à tel point que même de l’acide - et je pèse mes mots – vous aurait semblé la chose la plus délicieuse au monde, alors vous avez peut-être une toute petite idée de combien cette eau était exceptionnelle.
Essayez donc d’imaginer tous ces éléments réunis, l’eau, les arbres et les fleurs dans les jardins, et encore de belles maisons tout autour. Peut-être réussirez-vous à vous imaginer un superbe lieu. Multipliez cette beauté par mille et vous aurez une chance de vous rendre compte de ce qu’était la Chine à cette époque. Un vrai paradis.
Tout cela était parfait. Trop parfait. En effet, car il me semble avoir omis de préciser certains détails, qui pourraient modifier la compréhension de ce témoignage. Certes, tout cela était bel et bien réel. Cependant, et contrairement à ce que vous avez dû penser, je ne crois pas vous avoir dit que les habitants de chaque tribu étaient heureux, dans ce paradis, ni que leurs visages étaient ornés d’un sourire. Non, car il n’y avait pas de quoi être heureux, ni de sourire. Comment le sais-je, me demanderez-vous ? Je le sais, puisque j'y étais.

A cette époque, je n’étais qu’un enfant. Depuis, beaucoup de choses se sont passées. Maintenant, je ne suis plus qu’un vieux grincheux, comme le disent les jeunes d’aujourd’hui. Mais j’ai vécu, et, au fil du temps, j’ai beaucoup appris. Je me suis fort assagi, et les jeunes me considèrent avec respect, car ils savent que ce que j’ai vécu, nul d’entre eux ne peut ne serait-ce que l’imaginer. Mais l’histoire ne peut se répéter, il est donc de mon devoir de vous prévenir, ou cela risquerait bien d’entraîner la destruction de l’humanité, car cette histoire ne peut être tue. Cependant, je préfère ne pas m’attarder sur les détails, car vous les comprendrez plus tard.

Il n’y avait donc pas de quoi être heureux, en effet. Car comment l’être, quand on sait que les objets inventés par les hommes n’étaient autres que des armes mortelles, ou des engins de torture. Et non contents de les fabriquer, ils les utilisaient contre leurs ennemis, non pour les faire passer aux aveux, mais par pur plaisir. Ils cherchaient chaque fois des armes plus terribles, et qui leur permettent de décider de la mort de leur adversaire. Pour bien leur dire que leurs vies ne tenaient plus qu’à un fil, et que c’était eux qui décideraient. Qu’ils étaient leurs jouets. De plus, les seules informations qui paraissaient dans les journaux, ne se rapportaient pas à un concours du plus beau jardin ou je ne sais quoi, mais aux derniers rapports de la guerre incessante qui avait éclaté quelque temps auparavant, aux derniers plans ennemis, aux combattants morts au combat. Ceux-ci avaient droit chaque jour à une dizaine de pages. Chaque jour, des milliers mouraient, et chaque jour, des milliers les remplaçaient. Ils étaient chaque fois moins, et chaque fois plus. C’était le chaos total. Cette guerre, je vais vous l’expliquer. Mais pour que vous en compreniez la source, il faut que je remonte le temps de quelques années encore…


Chapitre 2

Un malaise pas comme les autres



Nous ne formions à cette époque-là qu’un seul peuple. Tous unis, nous étions une belle et grande famille, vivant en harmonie avec la nature. Les animaux étaient vénérés depuis la nuit des temps. Et moi, de mes quinze ans, je ne me souciais pas de grand chose, à part de mes amours, de mon bien-être, et, bien entendu, des animaux. La vie était si calme et si paisible. Personne n’y était préparé. Nul n’aurait pu penser que ce jour allait changer nos vies à tout jamais.

Tous les jours, je me levais à l’aube. Je m’habillais rapidement, et descendais aider ma mère à préparer le petit-déjeuner de mes frères et sœurs. Ensuite, je descendais à l’étable, nourrir les animaux. Les quelques vaches que nous possédions nous donnaient un lait bien chaud chaque matin que toute la famille s’empressait de boire, avant qu’il ne refroidisse.
Le soleil était déjà haut dans le ciel quand je partais travailler avec mon père. Il m’apprenait tout ce que j’avais besoin de savoir, m’évitant ainsi d’aller à l’école, où la plupart de ceux qui la fréquentaient étaient bien plus jeunes que moi. Je travaillais toute la matinée, et, à midi, je me dépêchais de déposer mes frères à la maison, afin de pouvoir aller manger en compagnie de mes amis.
Chaque jour, l’un d’entre nous apportait le pique-nique, et quand nous avions fini, nous nous montrions nos nouvelles inventions. Nous riions bien, car elles étaient plus farfelues les unes que les autres. Puis, mes camarades retournaient travailler, et moi, je partais dans la forêt, nourrir et soigner les animaux. Rien ni personne n’était mieux placé que moi pour le faire, disaient les gens du village. Alors, c’était moi qui y allais tous les jours.
A la fin de la journée, alors que tous étaient épuisés, moi, j’allais encore construire des abris pour ces petits habitants de la forêt, ou j’allais vérifier que les nouveaux de ce lieu allaient bien. Ces petits êtres étaient vraiment importants, non seulement pour moi, mais aussi dans la vie de tous les Chinois. Bien sûr, chacun avait ses préférences pour l’une ou l’autre espèce. Mais il était interdit de leur faire du mal, ne serait-ce que les insulter pouvait vous coûter très cher.
C’était ainsi que se déroulaient nos journées, parmi les contrées de Chine.

Un matin, alors que rien ne prêtait à dire que cette journée était différente des autres, je me suis levé à l’aube, comme je l’avais toujours fait auparavant. J’ai aidé ma mère à s’occuper des petits, et je suis sorti, pour aller donner de quoi manger aux bêtes. C’est à ce moment-là que j’ai senti que quelque chose n’allait pas : tout semblait calme. Trop calme. Un silence s’était abattu sur toute la vallée. Un silence vraiment inconfortable. J’ai donné aux animaux de quoi manger, mais ce sentiment de malaise ne me quittait pas. Qu’est-ce que c’était ? Je n’en savais rien. Alors, j’ai fait comme si de rien n’était. J’ai continué ma journée normalement.
Même ainsi, cette étrange sensation de que quelque chose n’allait pas ne se dissolvait pas. Quelque chose n’allait vraiment pas. J’en étais sûr, désormais. Mais quoi donc ?

Quand midi est arrivé, moi qui, d’habitude, était celui qui chahutait le plus, je m’étais assis à l’écart de mes amis. Alors, Li s’est approchée de moi :
- Est-ce que ça va, Kuan Ti ?
- Oui, bien sûr, pourquoi ça n’irait pas ?
- Tu as l’air bizarre, aujourd’hui. Quelque chose ne va pas ?
- Non, non. Je t’assure que tout va bien.
Elle ne me croyait pas, bien évidemment, je n’ai jamais été un très grand menteur, mais, respectant mon silence, elle s’est éloignée, me laissant seul, perdu dans mes pensées.

Le lendemain matin, je me suis réveillé d’une humeur sans précédent. Le temps, maussade, reflétait parfaitement ce que je ressentais. La nuit porte conseil, dit-on, mais cette fois-ci, elle n’avait fait qu’intensifier, chaque minute, la torture que ce trouble me procurait. J’ai donc décidé de sortir, histoire de me rafraîchir les idées. Malheureusement, je ne sais vous dire si une quelconque autre décision aurait pu augmenter plus ce martyre qui m’était infligé.

A peine sorti, j’ai aperçu un filet de fumée au loin. Sur le coup, j’ai pensé que ce n’était rien d’autre qu’un petit feu de bois, que quelqu’un aurait laissé sans surveillance un instant, quelque chose sans grande importance, qui serait éteint en un rien de temps. Mais mon odorat ne se trompe jamais. A la première bouchée d’air, j’ai senti que le feu était déjà éteint. Mais ce n’était pas ça qui me préoccupait, car ce n’était pas un simple petit feu de bois, comme je l’avais cru quelques instants auparavant. C’était… Non, je ne pouvais pas croire ça. Jamais personne n’aurait pu faire une telle chose !


Chapitre 3

Le Temple



Je me suis mis à courir en direction du Temple. Comment quelqu'un avait-il pu commettre un tel crime ? Je n’arrivais pas à penser. Seule l’idée qu’un tel crime ait pu être commis me trottait dans la tête. Je fonçais à toute allure. Des gouttes de sueur dégoulinaient le long de mon visage. Elles me rentraient dans les yeux, mais je m’en moquais. Jamais, je ne me serais jamais cru capable de courir aussi vite. Mais avec l’horreur qui venait de se produire, j’en oubliais même l’inconfort des cailloux sur lesquels je courais, lorsque, dans ma plus grande hâte, j'ai trébuché.

Li, m’ayant vu détaler comme un lapin, m’avait suivi, et m’a retrouvé à peine quelques minutes plus tard. Avec ses mains habiles de jeune apprentie infirmière, elle a réussi à me faire retrouver connaissance en un rien de temps.
Quand j’ai ouvert les yeux, la première chose dont je me suis souvenu était le Temple. Là, je me suis relevé, et sans un seul mot de remerciement à Li, sans même un seul regard vers elle, j’ai continué ma course. Du sang coulait tout le long de ma joue, mais je ne m’en souciais guère. En quelques minutes à peine, je me suis retrouvé devant l’endroit sacré.

Je m’attendais à tout, mais pas à ça. J’avais imaginé tous les scénarios possibles et imaginables, mais celui-ci qui sortait carrément de l’envisageable. Comment penser qu’en une seule nuit, le Temple avait pu être réduit à feu et à sang ? En arrivant devant lui, je n’ai même pas été capable de le reconnaître. Lui qui, la veille encore, était un lieu de repos, de calme et de prières, n’était plus qu’un tas de cendres et quelques planches de bois qui avaient miraculeusement été épargnées. Cet endroit, qui reflétait la joie, le bonheur, n’était plus qu’un lieu lugubre à vous glacer le sang. La noirceur de ses cendres n’était que trop pareille à la noirceur de l’âme de la personne qui avait osé faire cela.
Je regardais cet emplacement d’un air désolé, lorsque mon attention a été attirée par la plainte d’un renard, qui devait se trouver là au moment de l’incendie. Il devait être quelque part sous ce tas de planches. Je me suis dépêché de dégager celles-ci, afin de pouvoir retirer ce pauvre petit animal, mais quand toutes les planches ont été retirées, une atrocité encore plus énorme m’attendait : le renard était loin d’être le seul à avoir été surpris par l’incendie.
Dans cet endroit du temple, ou plutôt de ce qu’il en restait, il y avait un petit aigle, un souriceau, un singe, un serpent… Bref, une espèce de chacun des animaux que nous vénérions avait été enfermée dans le placard qui aurait dû se trouver là en temps normal. Enfermées est le mot juste, car c’était loin d’être une simple coïncidence. Ma fureur était incontenable. Je hurlais ma rage, et jurais vengeance.

Déjà la foule accourait. Tous voulaient savoir ce qui s’était passé, mais quand ils découvraient la cruauté du crime, tous reculaient, pleurant devant une telle horreur. Tous étaient tétanisés. Qui pouvait faire pareille chose ? Personne ne le savait. Mais une chose était sûre : un humain n’en serait pas capable, seul un monstre pouvait faire preuve d’aussi peu de cœur et de pitié envers ces petites bêtes sans défenses qu’étaient les animaux.
Des hurlements refluaient de partout, les enfants, horrifiés, se cachaient le visage de leurs petites mains, eux qui avaient pour habitude de rire même du pire crime. Les hommes préparaient leurs armes, pour partir à la recherche de ce monstre et le tuer, chacun voulant le faire de ses propres mains. Certaines femmes même sont tombées à la renverse devant ceci.
Et moi, je restais là, bêtement, assis, sans rien dire, immobile, pleurant de dégoût.
Déjà, le monde entier savait ce qui était arrivé. Déjà, une larme entourait notre planète, qui avait toujours été belle jusqu’alors.

Li est arrivée près de moi. Elle comprenait parfaitement la haine que je ressentais, moi et toute la Chine, envers ce criminel. Elle m’a pris par le bras, et m’a entraîné loin du Temple. Je ne savais pas où elle m’emmenait, mais ça m’était bien égal. Désormais, tout m’était égal.
Finalement, nous nous sommes arrêtés devant notre cabane secrète. Nous l’avions construite quand nous étions petits. Là, elle m’a pris dans ses bras, et nous avons pleuré, tous les deux, sous notre cabane, toute la rage et la tristesse du monde.
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Chaos

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MessageSujet: Re: Poster vos plus belles histoires ici   Poster vos plus belles histoires ici Icon_minitimeJeu 31 Jan 2008 - 14:48

L'histoire de mon chevalier :

Dans une lointaine contrée, un souverain demanda de l’aide à un chevalier magique très puissant. En effet son royaume était menacé par une gigantesque armée de démon. Ce chevalier magique savait que sa plus grande bataille serait celle-ci. La veille de cette terrible bataille, il prépara soigneusement ses armes et ses tomes afin d’être prêt. Lors de cette bataille, il fût assister par l’armé du roi, mais celle-ci ne faisait pas le poids et ce fit littéralement décimée. Ce retrouvant seul, il comprit vite que sa fin allait arriver. C'est pourquoi, dans un dernier espoir, il utilisa un sort interdit de magie noire qui permet de détruire toutes formes de vie aux alentours et ainsi qui lui permettait de mette un terme à cette bataille. Malheureusement, il ne contrôla pas la puissance de ce sort car il requiert énormément de mana et au lieu de détruire simplement le champ de bataille, il détruisit le royaume entier et le chevalier magique perdit alors connaissance due à l’épuisement. Il se réveilla quelques jours plus tard et décida de se rendre dans un petit village à proximité, mais à la fin de cette guerre les hommes décidèrent d’attraper et d’exécuter les personnes ayant des pouvoirs magiques pour qu’un tel événement ne se reproduise plus jamais. C’est alors que les gens du village décidèrent de l’attraper et de le tuer, mais le chevalier magique utilisa ses pouvoirs pour se défendre et punir les hommes qui avaient osé le défier en détruisant tout le village. Pour chaque village agissant de la même manière, il le détruisit. C'est alors que les habitants qui virent ce chevalier magique semer la destruction et le chaos derrière lui le surnommèrent « chaos ».

Le royaume avant la bataille :
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Le royaume après la bataille :
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MessageSujet: Re: Poster vos plus belles histoires ici   Poster vos plus belles histoires ici Icon_minitimeMer 13 Fév 2008 - 0:40

sinon moi j'en ai une bonne histoire :

j'ai eu ma 1ere note au dessus de la moyenne du trimestre en math et c'est pas un 10.5 non, "loin de là" c'est un 13.5 Very Happy:D:D:D

Je sors!!!!!!!!

P.S : je pars feter sa à la taverne ^^
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MessageSujet: Re: Poster vos plus belles histoires ici   Poster vos plus belles histoires ici Icon_minitime

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