Pérégrinations de la Guerrière d'Argent

...sur la route vers la Cité d'Onodrith, alors que la soirée tombait doucement sur la plaine de l'Entalluve, je m'approchais d'une petite bourgade devant laquelle des enfants jouaient, insouciants d'un éventuel danger de l'extérieur...

...mon arrivée dans cette petite agglomération suscita une inquiétude parmi ses habitants, 3 hommes âgés entre 25 et 40 années portant des plastons de cuir souple et des jambières de bronze, sûrement les miliciens locaux, me fixèrent du regard,...

Ne désirant pas troubler la quiètude de la bourgade, je décidais de continuer mon chemin, espérant trouver un refuge prés de la rive sud de la rivière Onodlô,...

C'est lorsque je m'approchais d'une bâtisse utilisée comme auberge que j'entendis deux hommes se tenant devant la dite bâtisse parler de la vente d'une magnifique selle elfique par 2 marauds de passage dans la bourgade, je questionnais alors ces derniers sur l'heureux acquéreur de la précieuse selle, s'agissant d'un noble chevalier qui avait quitté les lieux en direction de la ville fortifiée de Calmiriê (à proximité du château de messire Shadox), l'aubergiste eut le malheur de rajouter que les deux vendeurs étaient toujours présents dans son établissement, ayant fêté le produit de leur vente 2 jours durant,...

...j'entrais dans la bâtisse, entendant derrière l'aubergiste qui me criait: Je ne veux pas de grabuge dans mon établissement sinon j'appelle la milice, damoiselle!"

A l'intérieur, il y avait une ambiance plutôt sombre, quelques personnes étaient attablées, pour la plupart des gens des environs, cela se voyait dans la manière de se tenir et le fait qu'ils communiquaient entre eux d'une table à l'autre, faisant bande à part de la population et se tenant sur le comptoir, ayant des difficulté à tenir debout vu l'état d'ébriété avancée dans lequel ils se trouvaient, mes 2 voleurs de selle...

Mon arrivée ne passa pas inaperçue, une grande Elfe de plus de 6 pieds toute en armure suscita le plus vif intérêt de la clientèle, je sentais la crainte ou la peur chez certains tandis que d'autres avaient des pensées moins nobles envers ma personne, tous, à des degrés différents, étaient avinés sans l'ombre d'un doute...

Etrangement, les seuls à ne pas m'apercevoir étaient mes 2 maraudeurs, l'un me faisant dos, et se tenant avec difficulté sur le dit comptoir, l'autre avait le nez dans sa chope de bière...

C'est alors que je me rapprochais du comptoir, que ce dernier leva les yeux vers moi et ceux-ci s'écarquillèrent, la frayeur était perceptible dans son regard,...il avait, en un éclair, compris que ses compagnons avaient échoué et qu'ils étaient peut-être morts...

Le seigneur Iantinin se leva juste avant l'aube , il avait une décision à prendre. Une décision importante! Rien de telle qu'une petite promenade matinale pour se remettre les idées au clair et profiter du soleil levant.
La mère de Kariac, entendit la porte se refermer derrière le chevalier. Elle se leva, se purifia et prépara la collation du matin. Le père imita la mère . Lorsque le soleil pointa ses rayons par la petite fenêtre de la masure, Kariac et ses parents dégustaient leur premier repas. Tant que l'on mangeait, personne ne parlait, c'était un rituel quotidien auquel se pliait toute la famille.
Kariac, à l'ouïe fine, perçut des pas devant la porte de la maison. Il se précipita pour l'ouvrir et accueillit le seigneur Iantinin. Ce dernier le sourire aux lèvres , salua la famille et vint s'asseoir après qu'on l'eut prié de le faire. Il regarda le père de famille droit dans les yeux et s'exprima ainsi:
- Je ne tournerai pas autour du puit. Je vous remercie grandement pour votre accueil et ai envers vous une dette d'honneur que je me dois de m'acquitter sur le champ. Aussi ai-je une proposition à vous soumettre, en gageant quelle vous conviendra malgré le grand sacrifice qu'il en coûtera. Voici cette proposition...

...le maraud qui me faisait dos, eut à peine le temps de se retourner, je lui assénai un violent coup de pied au visage, le faisant basculer par dessus le comptoir sur lequel il se tenait quelques secondes auparavant avec difficulté, il retomba lourdement derrière non sans de la casse de vaisselle d'aprés le bruit...

...le second maraud parvint, pendant ce temps, à dégainer son épée mais ne fut pas assez rapide pour lancer une attaque, je le frappais à l'estomac avec mon gantelet de métal, ce qui provoqua la perte de son arme...un second coup lui fut porté au même endroit, ce dernier était désormais plié en deux, se tordant de douleur....je lui balançai alors un direct en plein visage qui alla le projeter quelques mètres plus loin, renversant le mobilier de l'auberge et dérangeant fortement la clientèle...

C'est alors que je m'approchais dudit voleur que j'entendis derrière moi: "N'ALLEZ PAS PLUS AVANT DAMOISELLE!", lorsque je me retournais doucement, je vis les 3 miliciens appelés en renfort par l'aubergiste, et l'un d'eux tenait une arbalète, un carreau pointé sur moi...

"Rangez cette arbalète milicien, je ne voudrais répandre votre sang."

J'avais enfin retrouver ma soeur d'arme que pour m'apercevoir que sa vie était de nouveau menacer. Lorsque la nouvelle de l'attaque contre Celebkerrian était venu a mes oreils, j'avais aussi tôt enfourcher ma monture et partie a sa recherche, de peur que quelque chose de grave lui soi arrivé.

Alors que mon regard croisa celui de ma soeur, je lui fit un clin d'oeil pour lui faire comprendre que j'attendais son signal avant d'agir. Les miliciens était mal a l'aise d'avoir dans leur dos le grand chevailier bardé de fers près au combat. Un tourna afin de me faire face l'arme lever, il ne devait pas avoir beaucoup plus que quinze ans et transpirait a grosse goutte.

...il fallait désormais figer la situation, je tentais une explication sommaire aux 3 miliciens:

"Fiers gens de la milice, j'ai une affaire à régler avec ces brigands, ces derniers faisaient partie d'une horde qui désormais est décimée par mes soins, laquelle m'a poursuivie à travers toute la Forêt de Firien, m'a gravement blessée et dérobée une magnifique selle elfique d'une valeur inestimable...tout porte à croire qu'ils l'auraient vendue à un chevalier de passage chez vous, peut-être s'est il manifesté auprés du bourgmestre de ce village comme l'exige le protocole..."

Le milicien semblant être le plus âgé et donc le chef rétorqua:

"Cela est peut-être vrai, Gente Damoiselle, néanmoins vous vous êtes rendue coupable de la dégradation des biens du sieur Haleth, le gérant de cet établissement et que ce dernier est en droit de vouloir vous emmener à la justice pour demander réparation, et ces deux mécréants avec vous...chose qu'il a l'intention de faire..."

..."Ne faites pas d'histoire, vous et votre ami, nous allons vous emmener sagement jusque dans une cellule et allons attendre l'arrivée du Sénéchal et de ses hommes pour éclaircir toute cette histoire...ils seront là dans une journée voire deux."

Tandis que le chef des miliciens s'adressait à moi, je fis signe à Bestarius que ce n'était pas la peine d'engager le combat...ces hommes étaient surement des pères de familles qui ne faisaient que leur devoir: faire respecter l'ordre dans leur bourgade.

Alors que je cherchais doucement quelques piécettes dans ma tunique, je fixai Bestarius, lui montrant la porte de sortie de l'auberge, le milicien tenait nerveusement son arbalète, trop nerveux pour viser correctement mais assez dangereux pour toucher une personne malencontreusement, moi ou un client de l'auberge...

puis je lançais aux miliciens, en posant les pièces sur le comptoir:

"voici quelques pièces d'argent en réparation du préjudice du sieur Haleth, il y a largement de quoi rembourser la vaisselle, les table et chaises et la fenêtre!"

"Quelle fenêtre?" demanda le milicien ayant baissé son arbalète...

"CELLE-CI!" rétorquai-je, et je me précipitais vers la plus proche fenêtre du fond de la salle, j'entendis le tir de l'arbalète et le choc du carreau se figer dans une des poutrelles du plafond...

C'est dans les cris des miliciens, en me protégeant la tête avec les avants-bras et coudes en avant, que je passais au travers de la fenêtre, et effectuais une roulade pour me réceptionner dans un petit jardin,...n'attendant pas mon reste je courrais vers le nord, en direction de la ville fortifiée de Calmirié, espérant que Bestarius avait eu le temps de sortir et qu'il m'aurait rejoint rapidement...

Alors que Celebkerrian m'avait fait signe discrètement de sortir, je quittais l'auberge sans posé de question, souhaitant a tous une bonne soirée. J'étais a récupéré mon cheval lorsque j'entendis une vitre se fracassé et les cris des miliciens sommant la demoiselle de s'arrêter. Sans réfléchir d'avantage, j''enfourcha ma monture et après un rapide coup-d'oeuil aux autres destriers dans la place, je reconnu les effets de Celeblerrian sur les fesse de l'un deux. J'agrippa les reines de l'animal et me précipité au dehors.

Doutant de mon lien avec la grande elfe, le capitaine de la milice s'interposa dans ma course, mais devant la stature imposante de mon cheval de joute lancer a pleine vitesse, il sauta dans le faussé afin de m'éviter. En quittant rapidement la ville, je vis, du coin de l'oeuil, le jeune milicien courir vers la caserne afin de sonné l'alarme.

Après un léger galop, je fis arrêter ma monture qui désirait d'avantage courir, afin de retrouver la piste de Celebkerrian. Son cheval, inconfortable en ma présence, patinait nerveusement le sol en attendant le retour de sa maitresse.

A l'horizon, la petite bourgade grouillait d'activité et je savait que nous devions quitté l'endroit au plus vite.

Un des espions du Grand Prince Crominou, qui se trouvait dans la tavrene pour surveiller une sombre affaire de rapt d'enfants par des seigneurs verreux qui les formeraient comme de veritables machines à tuer, suivi toute la scene. Il avait bien remarqué que les deux hommes etaient louches, ils pensaient meêm qu'ils etaient dans le coups des rapts pendant un temps. Il alla donc vite querir l'une des lettres pretes à cachter par son maitre, pour dissuader la millice de poursuivre d'innocents voyageurs. Il decrvi la tenu des malfrats qui s'etaient enfuit juste apres l'intercation en voyant les miliciens suivre l'elfe.
Mais son travail ne pouvait s'arreter là, son maitre l'aurai à coup sûr bastonner pour avoir usé d'une des ses lettres en protection d'une inconnue, et ce sans connaitre la raison du litige avec les militiens. Il decida donc de suivre discretement les voyageurs, mais cela apres apres avaoir fait un petit tour d'horizon des connaissances des villageois.
Il s'avera qu'il etait question d'une affaire de selle volée par le groupe auquel appartiennent les deux pourceau de la taverne. Un apronfondissement revela que l'elfe etait de haut rang et son compagnon un puissant guerrier, il faudrait donc jouer serré pour une filature discrete.
Il offri quelques pieces à l'aubergiste pour les degats et ses services. Il le charga de surveiller l'affaire des rapts en attendant son retour, et de tenir une liste des passants et de leurs activité dans la contrée. Celui-ci joyeu de cette heute charge, s'affera au travail aussitot en pretant oreille aux commerages diverses. Rassuré de cette motivation affichée il enfourcha son cheval. C'etait un bel etalon, qui d'aspect ne payait pas de mine, mais avait été acheter par le maitre. Ses competences etaient à la fois celle d'un cheval d'endurance et d'un cheval de bataille.
Pour plus de sureté il decida de galoper à toute allure vers les fugitifs pour les depaser dans les bois et tenter une approche en tant que marchand ou forgeron ambulant. En offrant ses services il etait persuadé d'etre inclu dans le groupe et donc d'en apprendre beaucoup plus. Il vit le fier guerrier à l'horizon, il lanca donc sa monture pour le ratraper lentement.

...je courrais sans demander mon reste ni me retourner, et atteignais un petit bois susceptible de dissimuler ma fuite, sachant pertinement que l'aubergiste en voyant les pièces d'argent sur son comptoir ne maintiendrait pas sa plainte longtemps auprés du Sénéchal...

...aprés une lieue je me retournais enfin, n'apercevant pas Bestarius j'espérais que celui-ci n'avait pas eu d'ennuis (ni surtout causer d'ennuis à quiconque)...connaissant ses talents de pisteur, je laissais quelques traces susceptibles d'être visibles par lui et continuais mon chemin,...

quelques heures plus tard, alors que je traversais à gué une petite rivière, affluent certainement de l' Entalluve,je vis derrière une colline boisée une colonne de fumée et entendis des bruits de combats...je sentis pleinement l'odeur de l'orc...

Nombre de messages : 126 Date d'inscription : 01/08/2007

je vi Celebkerrian prés de la rivière perchais sur mon arbre je regaider sans bouger pres a sortit mon épée

je sortit le livre sacrée qui ma etait confier par mon peuple avant que les mage noir tua tout mon peuple et le lis

je tira une fleche a coter Celebkerrian et me cacha pour voir sa reaction le livre sacrée a la main et mon épée a l'autre

Les parents de Kariac ravalèrent leur salive car des propos venant d'un homme d'armes n'étaient jamais bons. Ils écoutèrent le discours du seigneur Iantinin avec une certaine appréhension et beaucoup de frébilité.

-la vie n'a pas de prix brave gens et pour acquitter ma dette envers votre fils et donc envers vous je vous propose ceci:
je jure sur mon âme de protéger votre fils et de le forger aux métiers des armes. Pour se faire il devra me suivre dès aujourd'hui pour rejoindre mon bien aimé fief. En outre pour combler le cruel déficit en âme humaine dans votre famille je vous offre cette bourse remplie de pièces d'or qui ne pourra certes remplacer des bras vigoureux mais pourra vous aider à vivre au mieux pendant quelques années. Je suis certain que vous y trouverez votre intérêt et celui de votre fils. Je m'en remets à votre jugement.

Le père se tourna vers la mère dont le visage était remplie de larmes. Il lut la réponse dans les yeux sombres de sa femme. Une réponse sans équivoque mais qui leur en coutait beaucoup. Le départ d'un fils n'était pas et de loin une broutille. Il se retourna vers le seigneur et hocha doucement la tête.

- Sage décision, braves gens. Kariac je te laisse une heure pour dire au revoir à ta famille et préparer ton baluchon.

Le seigneur Iantinin déposa doucement une grosse bourse d'or sur la table et sortit s'occuper de sa monture. Le sort en était jété...

L'espion continuait sa piste à toute allure et eu tot fait de depasser le seigneur Bestarius. Mais le trouvant seul il fut obligé de stopper et de guetter une autre piste, celle de la princesse d'argent qui etait la seule cause des troubles.

Il se veti de haillons et passa lentement tel un marchand de reliques. Bestarius sembla troublé de revoir ce cheval, il l'avait deja vu au mains d'un homme semblant bien plus noble et argenté que celui-ci. Mais il n'eut le temps de reflechir longtemp car l'homme d'apparence piteuse n'etait deja plus en vue.

Une fois arrivé sur son lieu de depart il apercu des traces facilement suivables et des indices tout le long de la route laissant penser à la guerriere d'argent. Etait-ce un piege ?
Qu'importe il saurai faire face. Il suivi les traces au trot jusqu'au matin, où il decida de faire halte pet d'une petite riviere. L'endroit etait charmand, mais pourtant son insctinct lui indiquait un danger. Suspect

Il alla donc en arme faire un petit tour d'inspection des environs. Enfin je la retrouvais, la guerriere etait là, se reposant au pied des arbres en lisiere d'une petite clairiere fleurie ou les lapins grouillaient. Un veritable petit coin de paradis, où le vent semblait chanter des psaumes dans les branchages. Pour mieu admirer et surtout essayer d'en apprendre plus, l'espion se cacha derriere un buisson et attendit la nuit pour creuser une cache avec sa hache qu'il recouvrirai de terres et de fleurs pour ne pas etre reparé. Il savait que tant que la cache n'etait pas fini il etait vulnerable, une fois dedans il serait indetectable même pour des chiens. Si la guerriere le remarquait avant il etait perdu, autant que son enquete.

Heureusement la nuit arriva et il reussit à se dissimuler parfaitement dans le paysage. Il vait entendu un bruit de fleche depuis maintenant quelques minutes mais il cru à une fleche pour la chasse. Ainsi il ne remarqua pas qu'un homme espionnait la guerriere avec son arc dans le dos et une épée prete à frapper...

Nombre de messages : 126 Date d'inscription : 01/08/2007

le chevalier izual entendue tes bruit il regarda deriere lui est vi une personne qui se cacher il descendit de l'arbre est ariva deriere l'espion et le desarma est le lanca dans l'arbre il remondit et regarda si personne ne l'avais remarquer .....

-c'est bon personne nous a vu . que fait tu la a cacher

L'espion etait en bien mauvaise posture non qu'il craignait son curieu visiteur mais qu'il craignait que les bruits de lutte n'attire l'attention de la guerriere.Il repondit d'un fausse voie d'homme affaiblie.

"Je me suis caché pour chasser les animaux qui abondent pret de cette clairiere, je revend la viande pour mon seigneur"

Izual semblait bien surpris d'une telle reponse, comment un homme ainsi vetu pouvait etre un simple chassseur. Il se tourna un instant pour observer la clairiere croyant l'espion à demi assomé.

Aussitot l'espion lui sauta dans le dos et d'un coup sec l'assoma du tranchant de sa main. Le bruit du corps qui tombe manqua de peu d'attirer l'attention, les oiseaux s'etait soudain envolés et les animaux derobés. Il compris vite que l'homme à terre sur le point de se reveiller ne demanderai pas sa chance avant de chercher vengeance, il decida donc de fuir vers un post d'observation ou cette fois PERSONNE ne pouvais le trouver. Il ne prit pas le temps de s'interoger sur la personne qui venait de l'agresser et ses intentions, manquement grave à sa fonction d'espion.

Le brave Izual se reveillé quelques instants apres et ne se souvenant de rien ne compris pas sa posture...

Nombre de messages : 126 Date d'inscription : 01/08/2007

izual se reveilla est ompris vite que le soitisant chasseur etait un espion qui surveillait sa soeur . il se releva est vi que la chute l'avais ouvert au niveau du genou son épeé li etait rentrer dedans . il marcha pres de la riviere et meta de l'eua est recidat un peu de magie blanche pour guerir la blessure

il pensa aussi a l'espion . si il le retrouver il lui posera plus de question sans se retournai et l'attacha

... Kariac ressenti une violente secousse dans le dos et sortit d'un coup de ses pensées où il s'était noyé.

- Alors kariac mon ami, toujours absorbé par les douces pensées de ta sorceresse ?

A ces mots le petit groupe accompagnant notre chevalier au castel de messire Shadox faillit mourir de rire en se remémorant le récit du pauvre Kariac à la taverne.

Ce dernier ne voulant surenchérir sur ce sujet déplaisant sourit bêtement à son auditoire et attendit que les esprits se calment. La nuit était tombée. Ils allaient entrer dans la forteresse par la porte sud dite porte des elfes .D'ailleurs il ne se souvenait plus pourquoi, elle avait été appelée comme cela lors de la dernière grande guerre contre les forces obscures.
Il demandera, à son ami Thalion, lors d'une prochaine rencontre, le véritable sens du baptême de cette porte...

...alors que je me demandais si j'avais été repérée par un quelconque guetteur, une flèche se planta prés de moi...cette fois aucun doute, un des éclaireurs de la horde orque m'avait aperçue et avait tenté de m'éliminer rapidement, son alternative maintenant: donner l'alerte...

Je n'avais plus le choix, je devais gravir cette colline et affronter ce qui se présenterait devant moi, je dégainais mon glaive, et commença mon ascension sur la dite colline, je profitais des quelques arbres pour éviter de servir encore de cible aux éventuels sentinelles ...mais bizzarement je n'entendis aucun son de cor pour prévenir de mon arrivée...j'allais bénéficier de l'effet de surprise...

Je parvins au sommet de la colline et je vis...

UNE CINQUANTAINE D'ORCS EN TRAIN DE SACCAGER UN VILLAGE MASSACRANT LES HABITANTS ET BRULER LES MAISONS...

Ne pouvant plus reculer, et espérant voir Bestarius et quelconque allié de fortune arriver, je me lançais à l'assaut de la horde semblant excédée par ma présence (je comptais sur le fait que d'autres guerriers que moi apercevraient les colonnes de fumée...)

Nombre de messages : 126 Date d'inscription : 01/08/2007

izual remit de sa blessure suiva Celebkerrianpour savoir se quelle allez faire est vis l'armée

il monta sur un arbre est decocha des fleche pour couvrir Celebkerrian.

Gestionnaire NK Nombre de messages : 33 Date d'inscription : 26/08/2007

Pas loin de la je m'entraina au combat et j'entendis un bataille alors je parti sur mon sphinx est j'arriva dans le ciel pour aidé Celebkerrian a tué l' horde d'orcs .
je tirai des fleches sur un dixaine d'ennemis est n'ayant plus de fleche je me mit sur terre pour leur faire gouté de mon épée.

L'espion suivait toujours à la trace la guerriere et desormais gardait un oeil sur son agresseur. Il vit une epaisse fumée monter d'un village de la colline où justement la guerreiére courrait. Il regarda de plus pres et vit une troupe Orcs en plein sacage. Son agresseur etait perché dans un arbre à tirer sur les Orcs couvrant la guerriere.

Un dilemme enorme se posa, aider la princesse ou garder sa position secrete. Comment agir pour le mieu ? scratch

C'est alors qu'il eu une idée; il n'etait pas mage mais connaisait quelques rudiment d'alchimie et deux ou trois sors. Mais comment les lancer sans se faire reperer ? Il se mit en lisiere de forêt et s'apercu qu'il pouvait de sa place atteindre les orcs sans etre vu.
La dicision fut bien vite prise, il prit dans son sac les fleches percantes forgées par son maître et arma son arc de Trebizonne. Il n'avait jamais osé les utilisées car son seigneur l'avait prevenu qu'elle pouvaient traverser des murs et plusieurs hommes à deux lieux de distance. Une petite pierre fluorescente taillée en siflet et ornant la point effrayerai sans aucun doutte les orcs qui reconnaitraient là la marque du Grand Pirnce Crominou qui jadis avait massacré la grande puissance formée par l'alliance entre Orcs, Gobelins et Trolls.

Hesitant il decida enfin de decocher sa premiere fleche.
Il fut supefait, le trait volait à une allure folle dans une ligne droite parfaite marqué par la pierre comme un rayon de soleil. Le siflement etait terrifiant, comparable à celui d'un aigle qui fond sur sa proie. La fleche arrive au niveau du village où elle transperca 3 orcs avant d'entrer dans un maison et d'etre hors de vue.

L'espion n'osai plus tirer, la guerriere ne pouvait avoir remarqué le tir puisque les orcs s'etaient tous arretés brusquement bloqués par la peur.La guerriere et l'agresseur quand à eux cherchaient la provenance de ce rayon diabolique. Heureusement la fuite d'une premiere dizaine d'Orcs rappela la guerriere au combat et l'archer dans l'arbre à ses cibles. Il decocha un second traits qui traverssa deux orcs et mit en fuite une deuxieme dizaine. Cette fois l'agresseur etait à quelques details de decouvrir la provenance des rayons et la princesse semblait avoir compris qu'un mysterieu etranger lui venait en aide.

La bataille etait quasiment gagnée, pas besoin de tirer un autre trait, la gueriere appuyée de l'agresseur arriverai sans souci à en finir avec la petit vingatine d'Orcs à demi-terrifiés qui courraient en desordre dans les ruines du village. Il ne fallait pour autant pas oublier son metier.

L'espion utilisa un petit apot qui fît accourir un être etrange mi fée mi lutin qui repondait au nom de "Polypedestre à l'ouie fine". Nom amplement merité par sa capacité à parcourir plusieurs contrées en quelques instant à l'appel des apots qu'il avait lui même fait forger à son amie de toujours Crominou.
Le brave petit être violet etincellant arriva donc:
- "Bonjour à toi Pausanias, tu m'a appelé il me semble"
- "En effet polypedestre. Regardes nos vieux ennemis les Orcs s'en prennent aux villages de paysans. Cours prevenir le Grand Prince ! Et surtout n'oublis pas d'alerter les garnisons alentours qu'elle se preparrent à se battre car les Orcs ne font que rarement des actes isolés.
- "C'est là ton seul souhait ?"
- "Et bien si tu pouvait l'avertir que j'ai mit en suspend mon enquete pour en apprendre plus sur la guerriere que tu vois là, et lui demander de renouveller mon stock de fleches percantes et de lettres signées..."
- "Aucun probleme il en sera averti. Bonne chance"
-"Bonne course à toi, et n'oublis pas de le feliciter pour ses fleches, elles sont redoutables."

La petit chose etait deja en chemin et arriva au palais du Grand Prince pour remplir sa mission.

L'espion continuait à observer de loin la bataille, constatant que les deux humains etaient de forts bons comabttants.

...alors que je courrais, arme au poing, en direction des créatures du Mal, quelques uns d'entre eux étaient surpris de me voir débouler dans leur sac du hameau...

une demi-douzaine d'orcs se dirigèrent vers moi, réalisant peut-être que j'étais seule...

Soudain, l'orc le plus proche de moi reçut une fléche en plein front et s'écroula aussitôt, ses compagnons d'armes ne semblaient pas avoir aperçu celle-ci...cette flèche avaient été décochée derrière moi, à l'orée du bois que je venais de traverser et elle n'était pas orque, j'avais donc un allié secret...il n'y avait donc aucun guetteur orc. J'avais été dupée...

je frappai un des orcs à ma portée sur l'épaule gauche, provoquant un flot de sang et un craquement à peine perceptible lors d'une bataille, tandis que mon mystérieux allié, bien dissimulé, faisait un massacre dans leurs rangs...ce qui alerta les autres membres de la horde, cette fois si j'étais face à au moins une quarantaine d'orcs avec un archer de mon côté...ça allait être juste...

C'est à ce moment là qu'un guerrier monté sur une créature magique appelée sphinx, fit son entrée et décocha une série de flèches, prenant à revers la meute...

D'un coup, je vis 3 orcs tombés en même temps sous le même trait de flèche, sifflante, qui alla se figer dans une des maisons en flamme...

Gestionnaire NK Nombre de messages : 33 Date d'inscription : 26/08/2007

ayant recupéré des fleches dans les carcasse mort je remonta sur ma monture est vis au long un armé de géand de feu se dirigeant dans notre coté je tira les fleches est j'apperçu un hallebarde je la pris pour me battre en restant sur le sphinx est je dit :
-Celebkerrian un armé de géant de feu arrive venais avec moi pour allé prevenir les renforts !

...le combat tournait à mon avantage...une seconde flèche sifflante traversa 2 guerriers orcs, le chevalier descendit de sa monture et se mit à combattre les viles créatures qui commencèrent à paniquer de ce terrible raid surprise, une dizaine d'entre eux fuirent le lieu sans demander leur reste...

Taillant 2 ou 3 orcs, je vis prés d'une maison délabrée, une charette sur laquelle se tenait une grande cage, à l'intérieur de celle-ci:... DES ENFANTS, une bonne quinzaine d'enfants...

L'espion etait toujours à l'afut, avait'il eté reperé ? impossible mais sait on jamais ...

Il changea de position pour mieu observer la scene. Il apercu alors un sphinx, chevauché d'un archer qui apporta son aide à la guerriere. Voila qui devenait etrange, tant de monde en ces lieux pourtant perdu dans le paysage scratch

Pourvu que le Grand Prince prenne les mesures adequat et que les protagonistes quittent les lieux pour enfin reprendre les fleches, car il faudrai au moin une apres midi de recherche avec le sortilege de brillance des pierres pour remettre la mian dessu.

La situation semblait se calmer, la guerriere s'approchait d'un cage pleine d'enfants que convoitaient les Orcs tantis que le sphinx s'agitait entre terre et ciel. L'archer dans l'arbre ne sembait pas faire des siennes non plus, la voie etait donc ouverte pour continuer l'enquete.

La cage revele toutefois un nouvel indice à l'espion, les Orcs sont complice du traffic.